La Journée de la Jupe et Man on Wire

J’ai vu deux films excellents : « La Journée de la Jupe » et « Man on Wire » dans le festival d’été de film international.

Dans « La Journée de la Jupe », Isabelle Adjani est un professeur de français dans un école public. Ses élevés sont très difficiles. Ils sont pauvres, noirs, maghrébins et juifs. Un jours, le professeur découvert une pistole dans un sac d’un élevé et l’a blessé à la jambe. Avec la pistole, le professeur peut finalement donner la class sans problème. Mais quelques élevés se sont échappes et alertent les autres professeurs, le principal et le ministre. La fin du film est inévitablement tragique.

J’ai entendu qu’un audience (probablement un scandinave, je crois) a dit que le film résume tous les problèmes d’Europe :

1. La race et la religion. Le professeur porte quotidiennement une jupe et elle demande au ministre d’avoir une journée de la jupe, ou les filles peuvent porter la jupe sans être harcelées. Porter la jupe est contre l’Islam. Les collègues du professeur pensent le professeur est politiquement incorrect et ils croient qu’on doit respecter la religion et culture d’autres portant c’est contre la droite de l’homme. D’un autre côté, les élevés refusent d’être enseigné au nom de liberté. Ils pensent que tous les punis sont discrimination raciale.

2. L’enseignement. Tous les élevés difficiles sont dans le même école et le gouvernement le ne donne pas l’assistance. Le principal s’inquête que l’école va fermer et les fonctionnaires sont indifférents. La chose qui concerne le gouvernement est son image.

Le problème qui me dérange beaucoup est le problème de la mentalité libérale. Je crois toujours que je suis une gauchiste. Je pense qu’être libre est important pour la progression de la société. J’adore le funambule Philippe Petit dans le documentaire « Man on Wire ». Il a traversé sur un fil entre les deux tours du World Trade Center. C’était illégal mais c’était aussi une réussite. Il a dit dans le documentaire que « d'entretenir sa rébellion, de refuser de se conformer aux règles, de refuser son propre succès, de refuser de se répéter, de voir chaque jour, chaque année, chaque idée comme un réel défi. Ainsi, nous vivrons notre vie sur la corde raide. » C’est vrai, mais la question est : on a besoin de la rébellion ou les règles ? Qu’est-ce que mieux pour nous ? Je suis perdu.

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