4 nov. 2010

Le dieu du carnage

Je vu « Le dieu du carnage » de Yasmina Reza. C’était la deuxième fois que je voulais la pièce de lui.

Comme « L’art », l’intrigue de « Le dieu du carnage » est simple. Ferdinand, le fils de Alain et Annette a cassé deux dents à Bruno, le fils de Michel et Véronique. Les deux couples bourgeois décident de résoudre le problème avec civisme. Mais en discutant la responsabilité de Ferdinand, la tension entre les deux couples monte. Après qu’Annette ait vomi et ait sali un livre rare de Véronique, les deux couples se disputent. Alain l’avocat égoïste est seulement préoccupé par son travail. Annette la femme parfaite n’est pas contente que son mari soit toujours pendu à son portable. Elle décrit que sa vie est « segmenté » par le portable de son mari. Véronique l’écrivain adore tout ce qui concerne d’Afrique, mais elle n’est jamais allée en Afrique. Elle écrit ses livres avec les informations de seconde main. Elle aimerait que son mari soit un gauchiste bourgeois, mais Michel est un vendeur modeste qui en a marre d’être hypocrite.

Les acteurs de « Le dieu du carnage » ont très bien joué. J’ai trouvé sur internet que le rôle de Véronique est joué par Isabelle Huppert ! Comme « L’art », « Le dieu du carnage » est une pièce très française. Tout est raconté par les dialogues entre les quatre acteurs. La pièce n’a pas vraiment une « histoire », mais il s’agit de beaucoup de problèmes de la vie : le mariage, les enfants…Alors, pourquoi la pièce s’appelle « Le dieu du carnage » ? Sans le masque de la civilisation, l’homme est sauvage. L’homme est creé par le dieu du carnage.